Présentations du jour 1

Liane Rothenberger (Technische University Ilmenau): “How to measure media repertoires: media logs for students and repertoire mind maps for refugees”.

The measurement of the use of media devices and content in a socio-cultural setting often requires methodological soundness and has to be adapted to the specific group of recipients under study. This presentation will give an overview of the development of the tools used during the CUMEN studies and compare it to the tool box used in a study about the media repertoires of Arab speaking refugee families.

 

Rolf Kailuweit, Mareike Schroeter et Kathrin Thalweiser (Heinrich-Heine-Universität Düsseldorf): “Le concept et les pratiques de l’amitié en ligne dans une perspective interculturelle (Allemagne, France, Italie). L’exemple de Facebook”.

La communication se fond sur une enquête de plus de 1500 personnes interrogées en Allemagne, en France et en Italie réparties en six groupes: les utilisateurs allemands, français et italien de Facebook, et les correspondantes non-utilisateurs de Facebook. De plus, nous avons réalisé quatre interview d’experts avec deux experts des médias allemands et deux français. L’étude interculturelle de l’amitié dans le réseau social en ligne Facebook vise à identifier les différences concernant le concept et les pratique d’amitiés entre les utilisateurs et les non-utilisateurs. Les résultats permettent de découvrir les effets de la médiatisation de l’amitié à travers le réseau social en ligne Facebook, afin de pouvoir, à terme, se rapporter aux évolutions sociétales.

 

Claire Scopsi (Dicen-IDF, Cram Paris): « L’autorité des mémoires en lignes à l’ère de la post-vérité »,

Les dispositifs numériques actuels permettent aux historiens amateurs, collectionneurs, associations set communautés de publier en ligne leurs propres récits du passé. Les historiens (Bloch, Ricoeur, Legoff, Prost) ont toujours distingué l’histoire et la mémoire, selon le paradigme de la vérité, garantie par la méthode des « historiens de métier ». Dans un contexte de post-vérité numérique, qui se caractérise par une indifférence à la vérité pour privilégie l’efficacité communicationnelle des récits, comment pouvons-nous évaluer la fiabilité des mémoires en ligne ?

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