La base de cet article est l’extrait d’un chapitre à intégrer dans le projet d’ouvrage de vulgarisation sur les digital humanities, il traite de l’aspect patrimonial des relations entre les humanités numériques et la société.(http://blog.homo-numericus.net/article11107.html )
L’auteur présente l’intérêt de la présence en ligne de notre patrimoine comme le renforcement de la notion de bien commun en ce terme. Les biens culturels deviennent en effet accessibles à tous ou presque dans une mesure économique, mais aussi symbolique. La connexion à un site internet permet en effet de dépasser la fameuse barrière psychologique qui peut être rencontrée par les publics peu habitués à entrer dans les musées ou monuments.
Dans un point de vue plus commun, la mise en ligne des collections c’est aussi la connaissance et l’accès à des éléments jamais exposés. La fragilité ou d’autres caractéristiques peuvent en effet limiter les possibilités d’expositions. Cette mise en ligne est de nouveau u avantage économique par rapport à la mise en place réelle des objets.
Pour terminer, le dialogue et l’échange sont parfois nécessaires notamment sur des événements ou lieux porteurs de graves souvenirs communs. Lieux de bataille et autres symboles de notre histoire permet la création d’une dimension émotive pas si courante dans les échanges en ligne.
En conclusion, l’auteur envisage le rôle et les différents buts de l’humanité numérique avec le patrimoine dans trois points de vue différents, de la connaissance presque scientifique à la communication affective…