Professionnel de l’image, le photographe est avant tout un artiste passionné de photo. Il fait preuve de créativité et sait immortaliser les moments les plus importants. 

— Les missions

Pour prendre une bonne photo, il y a un minimum de réglages techniques nécessaires avant d’appuyer sur le bouton. 

Le photographe fait donc attention au cadrage, à l’angle de prise de vue, à la lumière, tout en prenant en compte le cahier des charges défini par son client.

Il doit savoir s’adapter à toutes les situations et mettre à l’aise les personnes qu’il souhaite photographier. 

Aujourd’hui, le photographe gère toute la chaîne de traitement numérique de l’image : de la prise de vue jusqu’à son impression finale ou sa mise en ligne.

— Les compétences 

• Avoir une excellente technique en photographie
• Avoir une bonne culture de l’image et sensibilité artistique
• Être créatif
• Avoir le sens du relationnel
• Avoir la fibre commerciale
• Maîtriser l’informatique et les logiciels de retouche

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— Le salaire 

En tant que salarié, un photographe peut gagner entre 1 500 et 2 000 € nets/mois. 

Néanmoins, un photographe indépendant aura une rémunération différente qui dépend du secteur où il travaille et des forfaits qu’il aura fixé pour son offre.

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— Études & formations

Bac+3

• Bachelor Photographie (EFET Photographie) 

Afin de réussir dans le métier, il serait intéressant de commencer en tant qu’assistant chez un photographe, ou de se mettre à son compte. Il est important de savoir se démarquer en imposant son style ou en se spécialisant dans un domaine en particulier.

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— Une photographe répond à vos questions

Placé dans sa cabine de projection, c’est la personne qui vous permet de visionner des films dans une salle de cinéma. Elle s’assure d’offrir un spectacle de qualité au public. 

Avant, avec des bobines de films 35mm (très peu de nos jours), et aujourd’hui avec des fichiers numériques, le projectionniste transfère tous les fichiers vers un serveur informatique. En effet, l’arrivée du numérique a bouleversé le métier de projectionniste. Maintenant, il est amené à gérer plusieurs salles à la fois depuis son écran d’ordinateur et assure donc le travail de plusieurs projectionnistes à la fois, à une époque où le 35mm était majoritaire. 

Cela pourrait donc réduire le nombre de postes dans un cinéma. Il est donc primordial pour le projectionniste de se tenir informé de l’évolution des techniques et suivre des formations.

— Les missions

Le projectionniste gère l’éclairage de la salle et veille à ce que les séances de cinéma démarrent correctement : qu’une image ne saute pas, qu’il n’y ai pas de bruit de fond, de panne, ou autre.

En quelques heures, il doit savoir transférer les films qui changent de salle, nettoyer les projecteurs, décharger et démonter les anciens programmes, monter et charger les nouveaux. 

Pour les spécialistes en bobines de films 35mm, ils montent, pour chaque film, les bobines de bout à bout pour n’en faire qu’une seule.

— Les compétences 

• Être passionné par le cinéma
• Être précis
• Être rapide
• Faire preuve de rigueur
• Savoir être calme
• Être organisé et ponctuel
• Savoir s’adapter aux imprévus
• Avoir des compétences en informatique

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— Le salaire 

Un(e) projectionniste gagne à partir de 1 600 € brut/mois.

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— Études & formations

Après la 3e

• Bac pro Systèmes numériques option audiovisuels, réseau et équipement domestiques. 

Plus d’infos sur Onisep.

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— Une projectionniste répond à vos questions

Parce que pour les programmer, il faut d’abbord les sélectionner. Découvrez le métier de sélectionneur de films pour les festivals.  

— Les missions

Chargé de choisir les films qui seront projetés en et hors compétition d’un festival, le sélectionneur voit plus de 700 films par an pour, au final, n’en sélectionner que quelques-uns. Il a une idée du cinéma qu’il a envie de montrer en fonction de ce qu’il a vu, de ce qui est disponible sur le marché et surtout de ce qui lui semble fort.

— Les compétences 

• Être passionné(e) par le cinéma
• Aimer regarder beaucoup de films par jour et par an
• Être patient(e)
• Faire preuve de rigueur, d’éthique
• Être disponible

— Le salaire 

Le salaire varie en fonction du festival pour lequel il/elle travaille.

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— Études & formations

Bac+2 

• BTS métier de l’audiovisuel, option Gestion de production 

Pour plus d’infos sur cette formation : https://www.cidj.com/etudes-formations-alternance/les-diplomes/bts-metiers-de-l-audiovisuel. 

Bac+3

• Licence pro Gestion de la production audiovisuelle 
• Bachelor (bac +3) Production 

Quelques écoles : Le Frémis (Ensmis), Esra (École Supérieure de Réalisation Audiovisuelle), Esec (École Supérieure d’Études Cinématographiques), ISCPA Paris…

Bac+5

• Master professionnel en gestion de production
• Master en production audiovisuelle et multimédia
• Master en image, son et multimédia

Quelques écoles : Paris 1, Paris 3, Toulouse 3, Bordeaux 3, Aix-Marseille 1, Lyon 3…

Pour devenir sélectionneur de festival, il est quasi indispensable d’avoir effectué des stages auprès d’un autre sélectionneur.

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— Un sélectionneur répond à vos questions

Loin des caméras et des plateaux de tournage, le scénariste invente des histoires pour le cinéma et la télévision. À la demande d’un réalisateur ou d’un producteur, il tisse la trame du futur film. Il y a autant de manières de concevoir un scénario qu’il existe de scénaristes…

— Les missions

Mais dans tous les cas, le travail consiste à construire une histoire, imaginer des personnages, écrire des dialogues… Selon le sujet, le scénariste se documente pour nourrir son imagination et décrire de façon détaillée les scènes.

À la télévision et la mesure d’audience, il doit, en plus, tenir compte des attentes des téléspectateurs. Les scénaristes de télévision travaillent souvent en équipe et dans l’urgence. D’autres scénaristes peuvent être amenés à travailler seuls.

Le rôle de scénariste est aussi de tenir compte des effets visuels qui permettront au spectateur de s’y projeter. Le scénario qu’il écrit doit donc être pensé dans les moindres détails. 

La première étape est de rédiger le synopsis (résumé de l’histoire qui annonce les grandes lignes de l’intrigue). Après ça, vient le moment d’écrire le scénario ou continuité dialoguée (version plus longue). Ce document doit être rédigé séquence par séquence avec toutes les indications techniques : effet de lumière, description précise du lieu, emplacement de la caméra, durée de la scène, éléments de décor… 

Bien sûr, le scénario, qui sert de base à l’ensemble de la production artistique, peut être amené à évoluer durant le tournage.

— Les compétences 

• Créatif, imaginatif, sens artistique développé
• Capacités rédactionnelles développées
• Bon sens du relationnel 

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— Le salaire 

Le salaire du scénariste débutant varie selon le succès et le budget du projet. Une fiction de 90 minutes rapporte entre 15 000 et 61 000 € bruts, un film d’animation de 26 minutes entre 3 500 et 4 000 € bruts, et un épisode de série jusqu’à 1 500 € bruts.

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— Études & formations

Le métier de scénariste nécessite plus de talent que de diplômes. Toutefois, il existe quelques formations qui permettent de s’initier aux différentes techniques de rédaction et ainsi de devenir scénariste.

Après le bac

• 3 ans pour suivre la formation de scénario au CLCF ou à 3IS
• 5 ans pour préparer le diplôme de scénario de la Fémis, un master en écriture audiovisuelle, ou la formation du CEEA

 Bac+5

• Master mention cinéma et audiovisuel
• Diplôme de l’École nationale supérieure des métiers de l’image et du son (FEMIS) spécialité création de séries télévisées
• Diplôme des hautes études cinématographiques (DHEC) option scénario – réalisation

• Scénariste

 Bac+6

• Diplôme de l’École nationale supérieure des métiers de l’image et du son (FEMIS) spécialité scénario

Chargé de construire la programmation d’un cinéma, en cohérence avec la politique et l’identité du lieu pour lequel il/elle travaille. C’est cette personne qui se charge de faire le lien entre les distributeurs de films et les salles. Ce choix ne se fait bien évidemment pas en fonction de ses propres goûts, mais surtout en fonction de ce que le public souhaite voir et ressentir. Les critères de sélection vont donc se baser sur la qualité, la ligne éditoriale du cinéma, la sociologie et la géographie du territoire où le programmateur se trouve.

— Les missions

Le programmateur devra voir un maximum de films (plutôt cool nan?) afin de connaître ce qu’il propose au public, et de pouvoir défendre ses choix artistiques et commerciaux face aux distributeurs et exploitants. Il fait le lien entre les salles de cinéma et les distributeurs et négocie avec ces derniers.

— Les compétences 

• Être passionné(e) par le cinéma
• Aimer regarder beaucoup de films par jour
• Savoir anticiper les goûts du public
• Savoir négocier
• Savoir travailler en équipe

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— Le salaire 

Pour un programmateur indépendant, le salaire dépend des recettes en salles. Pour un employé, cela dépend de l’employeur. 

En moyenne, les salaires varient entre 2 300 € et 2 500 € brut par mois pour un chargé de programmation débutant. Un cadre peut gagner jusqu’à 4 500 € nets/mois.

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— Études & formations

Bac+2 

• BTS métier de l’audiovisuel, option Gestion de production 

Pour plus d’infos sur cette formation : https://www.cidj.com/etudes-formations-alternance/les-diplomes/bts-metiers-de-l-audiovisuel. 

Bac+3

• Licence pro Gestion de la production audiovisuelle 
• Bachelor (bac +3) Production 

Quelques écoles : La Fémis (Ensmis), Esra (École Supérieure de Réalisation Audiovisuelle), Esec (École Supérieure d’Études Cinématographiques), ISCPA Paris…

Bac+5

• Master professionnel en gestion de production
• Master en production audiovisuelle et multimédia
• Master en image, son et multimédia

Quelques écoles : Paris 1, Paris 3, Toulouse 3, Bordeaux 3, Aix-Marseille 1, Lyon 3…

Il est également possible d’avoir fait des études en écoles de Commerce et Management.

Pour devenir chargé de programmation, il est quasi indispensable d’avoir effectué des stages dans une organisation de production, d’un programmateur ou d’un exploitant.

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— Un programmateur répond à vos questions